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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 00:02

SASSOU NGUESSO Proclame L’institutionnalisation du Tribalisme ?

Par Ghys Fortuné DOMBE BEMBA (Talassa) 

jpg_Sassou--fait-des-petits-da350.jpgLes nominations aux différents hauts postes de responsabilité au niveau de la force publique dont bénéficient quelques officiers supérieurs depuis quelques années, ne laisse pas indifférents plusieurs personnes. Le 26 octobre 2012, nombreux sont nos compatriotes qui sont montés au créneau pour dénoncer une fois de plus le caractère tribaliste des diverses nominations issues du dernier conseil des ministres.

Qui des Congolais a oublié que lors de la Conférence nationale souveraine, le tribalisme a été combattu avec sévérité. Et que tous les hommes politiques de notre pays avaient donc jurer de ne plusrecourir à cette façon de faire. Pour faire partir Pascal LISSOUBA du pouvoir, SASSOU NGUESSO et ses FDU ne s’étaient-ils pas insurgés contre la théorie de la tribu-classe sur laquelle s’appuyait à cette époque le régime de LISSOUBA dans la nomination des cadres dans toutes les administrations publiques dont celles relevant de la force publique ? Pour quelles raisons M. SASSOU NGUESSO veut-il aujourd’hui encore réveiller les vieux démons ? Est-ce pour que les Congolais s’entretuent encore pour une énième fois ?  

Les chiens aboient la caravane passe, telle est aujourd’hui la devise du clan au pouvoir qui, par les dernières nominations qui viennent d’être rendues publiques au sein des instances militaires, confirme, si besoin est, à ceux qui en doutaient encore, l’ancrage tribal de ce qui nous est présenté comme étant l’armée Nationale congolaise.

Nous avons tous lu les réactions prémonitoire du colonel Daniel NKOUTA et bien d’autres parues dans la presse locale et dans d’autres médias, notamment étrangers. Les déclarations visionnaires de ces derniers avertissaient les Congolais de ce que, SASSOU NGUESSO ne s’affranchirait pas de la tutelle, une fois de plus, de l’instinct tribal qui l’enserre de ses griffes, quant aux nominations à venir au Haut-commandement des Forces Armées dites congolaises (FAC).

En effet, avec les toutes dernières nominations, la boucle est finalement bouclée. Tous les postes de commandement au sein de la force dite publique sont désormais totalement mboshisés. 

Et avec une telle obstination à vouloir gérer une institution aussi sensible sous le prisme des préjugés tribaux, plus d’une personne serait tentée de dire que, SASSOU NGUESSO semblerait réunir les derniers ingrédients de la rwandisation du pays.

Beaucoup de ressortissants de la partie sud du pays qui étaient déjà assez indifférents de cette armée, ne devraient plus avoir aucune raison de se sentir concernés par la hiérarchie de cette soldatesque tribal qui sert de forces armées nationales. Qui a oublié que cette armée est entretenue aux frais des contribuables ? C’est-à-dire des efforts consentis par tous les Congolais dont ceux de la partie sud du pays qui sont l’objet de plusieurs frustrations.

C’est un secret de polichinelle. La partie sud du pays dispose de l’essentiel des richesses qui aliment le Trésor public désormais clanisé. Par voie de conséquence, c’est l’unique pourvoyeuse des copieux subsides versés à cette armée, devenue aujourd’hui milice ethnique, si on peut oser parler ainsi.

Il reste au peuple de tirer les leçons de cette gestion éminemment ethnicisée des institutions nationales, de prendre conscience que SASSOU NGUESSO et son entourage n’ont aucune aptitude à bâtir la nation congolaise. Une telle dérive qui frise la provocation, risque d’apporter de l’eau aux tenants de la sécession du pays en nord et sud, comme cela s’est récemment produit au Soudan. Plus aucun discours de SASSOU NGUESSO ne pourra désormais convaincre.

Dieu qui sait tout, s’emploie à laisser en vie aussi longtemps que possible Pascal LISSOUBA, nonobstant la détérioration de son état de santé, afin qu’il ait le temps d’observer ce qui se passe afin qu’il puisse dire aux Congolais que les changements, même les plus souhaités, ont leur mélancolie.

Jamais le Congo Brazzaville n’aura été dans une telle dérive ethniciste et dangereuse, qui confirme sans équivoque et sans appel, que SASSOU NGUESSO est plus tribalistes que tous ses prédécesseurs.

Les institutions internationales et particulièrement les grandes nations de la planète telles que les USA, la Grande Bretagne, etc., devraient être préoccupées par le cas congolais. La France avec qui le Congo Brazzaville entretient des relations particulières, et par ailleurs responsable de cette nation hybride qui permet à la minorité d’offenser la majorité, devrait être également interpellée.

Le clan royal a finalement décidé de faire le ménage pour sécuriser le pouvoir. Tous ceux qui ne gravitent pas autour du noyau central, qui est Edou doivent être débarqués. Le temps presse. Il faut préparer et sécuriser le très prochain tripotage de la Constitution.

La manière consiste de s’emparer de la totalité des postes de commandement de la force publique, pour être sûr que l’ordre d’intimider ou de massacrer qui sera donné le moment venu pour calmer la ferveur publique, sera exécuté. Ainsi, même ceux dont la fidélité à SASSOU NGUESSO ne fait pourtant l’ombre d’aucun doute, pragmatisme oblige, doivent être sacrifiés. Le général Prosper NKONTA, après des services rendus jusqu’à la compromission, après avoir servi à fusiller sa propre base biologique pour chasser les prétendus Ninjas dans le Pool, vient d’être remercié. Il a été  expédié dans cette voie de garage qu’est l’inspection générale des armées qui n’inspecte rien du tout.

Pour tenter de cacher la réalité, l’on a promu en remplacement un autre faire-valoir, homme lige, le général OKAKA, autrement dit BOUKAKA, qui n’a depuis longtemps de koongo que le nom, digne cousin d’Adolf HITLER, à qui cet officier tente de plus en plus de rassembler par une soigneuse campagne de maquillage, avec la célèbre moustache entretenue aux frais du contribuable.

Le général Norbert DABIRA, Mboshi, mais de Boundji, en fait Téké d’Alima, comme on a coutume de le dire, déjà sacrifié dans l’affaire des disparus du Beach, vient de disparaître du haut commandement de l’armée, pour remplacer un colonel Michel NGAKALA à la gestion des miliciens réintégrables. Entre temps, l’homme était en fait, secret de polichinelle, en sursis d’arrestation. Il a été abondamment entendu dans le drame du 4 mars de Mpila.

Les généraux Charles MONDJO et MOKOKI récemment propulsés comme ministres figurants, nous savons qu’ils le savent qu’il s’est agi là d’une sanction, devront, dans un avenir prochain être sacrifiés à leur tour. L’enquête sur le drame de Mpila, si les manœuvres du clan au pouvoir ne parviennent pas à l’enliser, ces deux têtes devront tomber, le premier étant Mboshi de Boundji, donc en réalité Téké d’Alima, et le deuxième Katangais.

Le général de division Léonard Noël ESSONGO, Katangais de son état, vient d’être nommé conseiller spécial, chef d’Etat-major particulier du président de la république. Plus d’une personne pense qu’à ce niveau, le général ESSONGO n’est que l’ombre de lui-même et risque de finir comme le colonel Marcel NTSOUROU.

Il sied de dire en passant, que notre général conseiller ressemble à ces personnes que l’on ne consulte jamais à l’instar de Ya Claude Ernest NDALLA alias Graille, Pierre NZE et toute la vielle racaille de vieux assassins jamais repentis.

La mboshisation des institutions publiques dans notre pays est devenue une véritable épidémie. Et l’ethnisation est une réelle endémie qui sévit au Congo Brazzaville.

Il n’y a plus aucun avenir commun dans cette République où l’appartenance ethnique a simplement remplacé la méritocratie. Il faut implorer le ciel pour que cette dérive ne conduise pas à la rwandisation du pays, car, nous le répétons, les ingrédients sont désormais réunis.

Où sont donc passés les fameux sages Mboshis consacrés dans Otwere ? Qu’attendent-ils, à moins d’en être complices, pour faire prendre conscience à SASSOU NGUESSO qu’une telle gestion des ressources humaines du pays par un chef d’Etat est porteuse de germes de révolte populaire susceptible d’ensanglanter le pays ? Où est donc passé le sens du serment du chef de l’Etat ? Aurait-il prêté serment au seul profit de sa tribu ? Tout porte à le croire en tout cas.

Avant de revenir longuement sur ce dossier, nous voudrions dire à SASSOU NGUESSO que sa gestion chaotique des ressources humaines crée dans le pays une atmosphère délétère qui pourrait s’avérer être un terrible brûlot.

Comme disent les Koongos, il aurait tort de croire que la fumée qui se dégage à l’horizon ne témoigne que de la brûlure des poils du rat, si les poils brûlent, c’est que le rat également se consume peu à peu. Le déclin des régimes de Kadhafi, Ben Ali, Moubarak devrait nous enseigner. Mais hélas !

 

A Relire : http://www.mampouya.com/article-tribalisme-ou-le-reflet-d-une-mentalite-primitive-40170590.html

Et : http://www.mampouya.com/article-le-paradoxe-des-separatistes-ethniques-107031126.html 

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LA MEDIOCRITE DU POUVOIR DE BRAZZAVILLE

eau ou pétroleQue fait-on réellement avec tous les milliards de francs CFA engrangés par le Congo Brazzaville classé dernier partout ?La médiocrité du pouvoir de Brazzaville dans le domaine des affaires se dévoile au grand jour

Dans beaucoup de pays à travers le monde, on s’accorde de reconnaître que donner aux hommes d’affaires des grandes opportunités pouvant favoriser et consolider la promotion des affaires, est devenu une nécessité irréfragable.

Ainsi, dans Doing Business 2012, les pays ont été classés, en fonction de la facilité d’y faire des affaires, de 1 à 185, la première place indiquant le plus haut niveau de facilité. Un classement élevé sur l’indice de facilité de faire des affaires signale un environnement réglementaire propice aux opérations commerciales. L’indice correspond à la moyenne des classements sur les 10 indices étudiés. Chaque indice est affecté du même coefficient. Le Congo Brazzaville dans ce classement est un piètre élève qui ne mérite qu’un zéro avec une grosse tête, des grandes oreilles et des gros yeux larmoyants.

Au niveau de ce classement, beaucoup de pays africains se retrouvent au bas du tableau. La République du Congo, notre pays, est 183ième pour la facilité d’y faire des affaires. Il occupe la 180ième place pour la création d’entreprises, la 149ième  place pour l’octroi de permis de construire, la 170ième place pour le raccordement à l’électricité, la 156ième place pour le transfert de propriété, la 104ième place pour l’obtention de prêts, la 158ième place pour la protection des investisseurs, la 182ième place pour les paiements des impôts, la 181ième place pour le commerce transfrontalier, la 162ième pour l’exécution des contrats et la 136ième place pour le règlement de l’insolvabilité. No comment.

Voir Doing Business: http://francais.doingbusiness.org/data/exploreeconomies/congo-rep

Le Tchad, avant dernier de la liste est classé 184ième pour la facilité d’y faire des affaires. Il se trouve au 181ième rang pour la création d’entreprises, au 127ième rang pour l’octroi de permis de construire, au 149ième rang pour le raccordement à l’électricité, au 140ième rang pour le transfert de propriété, au 104ième rang pour l’obtention de prêts, au 158ième rang pour la protection des investisseurs, la 184ième rang pour les paiements des impôts, au 180ième rang pour le commerce transfrontalier, au 167ième rang pour l’exécution des contrats et au 185ième rang pour le règlement de l’insolvabilité.

La République Centrafricaine, le dernier pour ce classement, est au 185ième rang la facilité d’y faire des affaires. Elle est placée 170ième pour la création d’entreprises, 147ième pour l’octroi de permis de construire, 173ième pour le raccordement à l’électricité, 132ième pour le transfert de propriété, 104ième pour l’obtention de prêts, 139ième pour la protection des investisseurs, 181ième pour les paiements des impôts, 182ième pour le commerce transfrontalier, 177ième pour l’exécution des contrats et 185ième pour le règlement de l’insolvabilité.

L’Erythrée, qui figure parmi l’un des pays les plus pauvres de l’Afrique, est mieux côté que le Congo Brazzaville. Elle se trouve dans ce classement Doing Business 2012 au 182ième rang pour la facilité d’y faire des affaires, au 183ième rang pour la création d’entreprises, au 185ième rang pour l’octroi de permis de construire, au 93ième rang pour le raccordement à l’électricité, au 181ième rang pour le transfert de propriété, au 180ième rang pour l’obtention de prêts, au 117ième rang pour la protection des investisseurs, au 146ième rang pour les paiements des impôts, au 165ième rang pour le commerce transfrontalier, au 51ième rang pour l’exécution des contrats et au  185ième rang pour le règlement de l’insolvabilité.

Le Niger, un autre pays africain qualifié de pauvre, est devant le Congo Brazzaville. Dans ce pays du sahel, on a beaucoup plus de facilité de se raccorder à l’électricité qu’au Congo Brazzaville où les cours d’eau foisonnent.  Il est au 118ième rang pour le raccordement à l’électricité, alors que le Congo Brazzaville qui est l’un des pays les plus riches en eau par tête d’habitants, occupe dans ce cadre la 170ième place. Ce qui devrait vraiment faire beaucoup réfléchir le pouvoir de SASSOU NGUESSO, qui, au lieu de chercher seulement à se maintenir au pouvoir par la force, a l’obligation de développer le pays avec toutes les richesses qu’il regorge.  Allez-y comprendre quelque chose !.

Le Niger est au 176ième rang pour la facilité d’y faire des affaires, au 167ième rang pour la création d’entreprises, 160ième rang pour l’octroi de permis de construire, au 118ième rang pour le raccordement à l’électricité, au 87ième rang pour le transfert de propriété, au 129ième rang pour l’obtention de prêts, au 158ième pour la protection des investisseurs, au 151ième rang pour les paiements des impôts, au 176ième rang pour le commerce transfrontalier, au 140ième rang pour l’exécution des contrats et au 130ième rang pour le règlement de l’insolvabilité.

Les Congolais ne devraient pas se laisser berner par les oligarques profito-situationnistes qui sont devenus comme des coqs associés à un commerce d’arachides. Le pays a les moyens nécessaires pouvant permettre sa modernisation intégrale et l’amélioration des conditions de vie des populations confrontées aujourd’hui à la misère, la pauvreté, la précarité et la mendicité.

L’Ile Maurice qui occupe la 19ième place, pour la facilité d’y faire des affaires dans ce classement Doing Business 2012, n’a pas opéré des miracles pour y arriver. C’est plutôt le fruit des efforts conjugués et mérités qui a favorisé ce classement. Ce qui devrait interpeller le régime de SASSOU NGUESSO qui est fustigé par les ONG internationales pour son manque de rigueur concernant les biens mal acquis, les détournements des deniers publics, la corruption, les pillages des ressources naturelles. L’organisation Transparency International est mieux placée pour dire à nos compatriotes ce dont ils ne maîtrisent pas trop dans ces domaines.

Ni les caciques prestidigitateurs ou marchands d’illusions du régime actuel, ni des lampistes qui sont devenus des véritables griots du pouvoir, ne peuvent plus démontrer que le Congo Brazzaville qui est tiré aujourd’hui vers le bas, présente encore des perspectives heureuses pour son peuple. Tous ceux qui soutiennent encore ce genre de point de vue, ne sont que des pires utopistes et démagogues.

L’Ile Maurice occupe la 14ième place pour la création d’entreprises, la 62ième place pour l’octroi de permis de construire, la 44ième place pour le raccordement à l’électricité, la 60ième place pour le transfert de propriété, la 53ième place pour l’obtention de prêts, la 13ième pour la protection des investisseurs, la 12ième place pour les paiements des impôts, la 15ième place pour le commerce transfrontalier, la 58ième place pour l’exécution des contrats et la 64ième place pour le règlement de l’insolvabilité.

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