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3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 20:55

CODICORD : RÉUNION DE PARTENARIAT

Un Nouveau Partenaire Reçu à Epinay sur Seine

codicord réunionLe CODICORD (Conseil de la Diaspora Congolaise pour la Restauration de la Démocratie au Congo), association de la diaspora congolaise dont le siège social est à Epinay sur Seine a reçu le samedi 30 juillet à 14h30 le président de l'association des Familles et amis, des victimes et martyrs du M22 pour une réunion de travail. Il s'agit de discuter d'une convention entre les membres de l'association CODICORD et l'association présidée par le Dr Alex IBACKA DZABANA.

Vous trouverez sur le blog : http://codicord.over-blog.com/ dans l'album "Codicord images" les photos faites avec nos différents partenaires. Nous défendons la ou les mêmes causes pour atteindre les mêmes objectifs avec nos différents partenaires.

Le Pacte Républicain élaboré avec quelques partenaires contient la vision politique que les Congolais de la diaspora et du territoire national devront lire pour comprendre la portée de notre message dans l'intérêt du peuple congolais et de notre pays héritage de nos ancêtres. 

Le Pacte Républicain sera publié sur le blog du CODICORD et partout où le besoin de communiquer se fera dans quelques jours.

Pour nous rejoindre ou pour toutes propositions de partenariat avec le CODICORD, veuillez contacter son Président

Raphaël GOMA par e-mail : raphael.goma@numericable.com ou par Tél : 06 22 27 18 64 

Le secrétaire chargé de la communication

Dr Eugène Fernand LOUBELO

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Congo Brazzaville : Faibles Investissements Privés Hors Pétrole

 Cherche Investisseurs et Compétences Désespérément

La République du Congo connaît, en dépit d'importantes ressources naturelles (forêts, mines, sols), un faible taux d'investissement qui ne favorise pas le développement du secteur privé hors pétrole représentant moins de 10% du PIB du pays.

Cette faiblesse des investissements privés jugée alarmante, comparativement à la moyenne en Afrique sub-saharienne (14% du PIB) et en Asie de l'Est (25%), a été révélé au grand jour par les organisations nationales union patronale et interprofessionnelle du Congo (UNICONGO) et Union nationale des opérateurs économiques du Congo (UNOC) qui représentent une large partie du secteur privé congolais, mais aussi par les institutions financières internationales, notamment le FMI.

"L'accélération récente des réformes structurelles entreprises par le gouvernement congolais devra contribuer à promouvoir le développement du secteur privé, qui reste parmi les plus faibles de la région, et à améliorer le climat des affaires", estime le représentant du Fonds monétaire international (FMI) au Congo, Oscar MELHADO.

"Si la mise en œuvre des réformes se poursuit de façon satisfaisante, des perspectives de solides taux de croissance hors pétrole pourraient être envisagées, ce qui permettrait de réduire durablement la pauvreté", précisait-il dans une interview publié dans le quotidien Les Dépêches de Brazzaville.

Par ailleurs, confronté à un accès limité au financement, à une insécurité judiciaire et juridique, à un environnement fiscal pénalisant et à un déficit de formation et d'information des entrepreneurs, les principales organisations du secteur privé ont initié la mise en œuvre, en partenariat avec les pouvoirs publics, d'un cadre de dialogue public-privé.

Au Congo Brazzaville, le secteur privé hors pétrole est victime de peu de considération par l'État, en dépit du rôle joué par l'entrepreneur. Ceci étant, les organisations qui ont longtemps dénoncé la méconnaissance de l'entreprise privé sollicite une plus grande attention à ce secteur créateur d'emplois. Ce cadre vise l'implication des PME au développement économique et de contribuer à l'amélioration du climat des affaires au Congo Brazzaville.

"Aujourd'hui, nous disposons d'instruments légaux pour travailler avec le partenaire public (État). Notre ambition est de contribuer à l'émergence de l'économie congolaise", a précisé le président de L'UNOC, Djibril BOPAKA se félicitant de l'instauration du cadre de dialogue public-privé initié par le gouvernement.

Face au diagnostic fait sur le faible niveau d'investissement du secteur privé, les pouvoirs publics qui se montrent préoccupés par cette situation ont saisi, à travers la direction générale de la promotion du secteur privé du ministère du développement industriel, le programme BizClim afin de cibler des mesures à prendre pour améliorer l'environnement des affaires et préparer un plan d'action à mettre en œuvre.

Ce plan d'action initié en partenariat avec la commission de l'Union européenne comprend des réponses précises aux difficultés et contraintes évoquées ainsi que les actions de suivi nécessaires à la facilitation de sa réalisation.

Le projet pour l'amélioration du climat des affaires a pour objectif de rendre l'environnement des affaires moins contraignant et attractif pour les investissements privés, pour mettre en place un cadre propice au développement de l'entreprenariat et à la création d'entreprises privées au Congo.

Cinq objectifs spécifiques prévalent à l'atteinte de cet objectif général. Il s'agit entre autres de faciliter la mie en œuvre du dialogue public-privé ; l'allègement de la fiscalité et la parafiscalité pour une meilleure orientation vers la croissance du secteur privé ; le développement des mécanismes d'appui financier et non financier aux PME congolais pour un meilleur accès au crédit, mais aussi de favoriser l'accès au marché pour les PME.

"Ces initiatives de dialogue font ressortir ; de part et d' autres, une prise de conscience des enjeux du mauvais climat des affaires et une nécessité impérieuse de réagir pour relever le défi", souligne le plan d'action.

En effet, dans la perspective de faciliter l'appui financier aux PME, PMI et TPMI (très petite et moyennes industries) congolais, le ministère en charge du secteur entend développer, en partenariat avec la Belgique, le fonds d'impulsion de garantie et d'accompagnement (FIGA).

Ce fonds dont le capital disponible est de 1,8 milliard FCFA permettra de lever les principales contraintes financières qui pèsent sur le développement du secteur privé des PME-PMI qui connaît des difficultés d'obtention de financement auprès des banques classiques.

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Scandale au Cœur d’une République "Bananière"

La banane amère de Njombé Penja au Cameroun

Contact : wakeupafrica1@yahoo.fr

50 ans après les indépendances, de nombreux Hommes d’Etats africains sont encore complices du pillage de leurs pays et de l’avilissement de leurs peuples. Au Cameroun, "L’empire noir de Bolloré", l’esclavagisme des temps modernes et le néocolonialisme se poursuivent avec la complicité des Hauts dignitaires du régime.

Les Plantations du Haut Penja (PHP), premier producteur de bananes du pays (société  détenue à 60 % par la Compagnie fruitière, basée à Marseille, et près de 40 % par l’américain Dole et par des actionnaires privés camerounais) sont accablés par de nombreux faits : accaparement des terres au détriment des paysans locaux, expropriations forcées, Mauvaises conditions de travail, licenciements abusifs, absence de liberté syndicale, monnaie de singe pour des employés travaillant plus de 14 heures par jour…

On se croirait encore à l’époque de l’esclavage.

D’autres part, les habitants se plaignent de la pollution causée par les pesticides et fongicides utilisées par la société, des produits pourtant interdits par l’UE (Union Européenne) pour leur danger sanitaire sont utilisés à Penja. Du fait des produits répandus par voie aérienne et des substances chimiques utilisées, on observe une recrudescence anormale des cancers, maladies respiratoires, dermatoses…

La richesse produite par PHP, ne bénéficie pas aux habitants de Njombé, puisque les routes abimées par les camions de PHP sont dans de piteux états. Ces sociétés ne paient plus d’impôts depuis plus d’une vingtaine d’années.

Il est donc triste de Constater que certains camerounais ont préféré vendre leur pays, la santé de leurs concitoyens, la vie de leurs concitoyens contre des espèces sonnantes et trébuchantes.

La PHP a les responsables politiques, administratifs ou judiciaires de la région dans sa poche. Les chefs traditionnels, sous-préfet et préfet sont gracieusement payés chaque mois pour garder le silence et calmer les ardeurs des populations locales.

PHP compte ainsi parmi ses cadres des députés du parti au pouvoir (RDPC) et loue des terres appartenant à des hauts gradés de l’armée. la  PHP est membre de l’Association de la banane camerounaise, un lobby dirigé par un autre député du parti au pouvoir, beau-frère du ministre du Commerce, Luc Magloire MBARGA ATANGANA.

Lequel n’est rien moins que le président du conseil d’administration de PHP, Un procureur de la république est habilement corrompu pour diligenter des simulacres de procès et pour faire disparaître des preuves pouvant les accabler, des policiers corrompus sont coptés pour menacer les éventuels témoins et pour saper leur moral.

D’après le quotidien français Libération, le président Paul BIYA, serait l’un des grands actionnaires de la société. En tout cas, c’est PHP qui s’occupent de ses plantations d’ananas dans son village de Mvomeka’a dans le sud du Cameroun. Un véritable scandale au cœur d’une république impliquant les plus hautes institutions de l’Etat : La présidence de la république, la primature, l’armée, le gouvernement, la justice, les préfectures, les chefferies traditionnelles…

C’est une affaire très délicate dans la mesure où qui s’y frotte s’y pique et y laisse sa peau. Le 26 avril dernier l’avant-première du film La Banane du jeune réalisateur camerounais Franck BIELEU a été interdite.

Ce film dénonce les abus subis par les populations de Penja, le film pointe aussi du doigt la pollution potentielle de l’environnement et de l’eau de rivière par des produits toxiques utilisés dans les plantations et les usines de PHP.

Des journalistes français ont été récemment arrêtés alors qu’ils voulaient filmer des manifestations des citoyens expropriés par la SOSUCAM (autre société transgressant les lois). Ces journalistes  avaient  pourtant reçu l’autorisation du directeur national de la cinématographie, ce dernier sera démis de ses fonctions par la suite sans aucune forme de procès. Comme quoi, il ne faut pas pointer son nez dans les affaires françafricaines en république "bananière".

Pour avoir osé dénoncer cette injustice, cet esclavagisme moderne, ce pillage du Cameroun avec la complicité de ses propres fils, l’ex Maire de Djombé Pendja, Paul Eric KINGUÈ croupit aujourd’hui derrière les barreaux et est accablé de complots montés de toute pièce visant à l’affaiblir et à l’éliminer.

Le Directeur général de la PHP avait promis "avoir sa tête à coup de millions" et le Directeur général de la SPM avait menacé de "le faire assassiner ou emprisonner, après l'avoir fait déposer de ses charges de maire". On voit bien que ces menaces ont été mises en exécution.

"Ce scandale en république Bananière n’est que le côté visible de l’iceberg, tout le sommet de l’Etat est trempé dans de telles magouilles", nous confiait un ancien directeur général d’une société d’Etat désormais privatisée.

Triste est de constater que les camerounais qui sont des champions pour apercevoir et combattre la françafrique dans les pays des autres, feignent de ne pas l’apercevoir chez eux même, alors qu’elle s’y manifeste dans sa pernicieuse splendeur, avec la complicité des fils de la nation.

50 ans après les indépendances, le néocolonialisme a encore de beaux jours devant lui. A Penja, la banane à un goût amer.

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LE Fmi Recommande la Fin de la Parité FCfa-Euro

Pour Atténuer les Effets de la Crise Financière

Par Mohamed GUEYE

Toutes les solutions qui pourraient permettre aux pays pauvres d’Afrique d’échapper le plus possible aux effets de la crise financière internationale, sont bonnes à prendre. Celles du Fmi, concernant les pays africains de la zone CFA, consistent à en finir avec le système de change fixe qui lie la monnaie africaine à sa marraine européenne. Pour l’institution, en permettant au CFA de se déprécier, on pourrait freiner le tarissement des capitaux extérieurs.

La crise économique et financière mondiale commence à produire ses effets sur les pays du continent africain. Si l’on n’a pas encore entendu nettement les voix africaines se prononcer sur la question, d’autres spécialistes du monde ont déjà préparé leurs remèdes et sont prêts à les administrer à nos pays. L’une des plus attendues était celle du Fonds monétaire international (Fmi).

L’institution financière internationale a profité de ses réunions annuelles du Printemps pour faire sa dernière proposition. Contenue dans les "Perspectives économiques régionales" pour l’Afrique subsaharienne, publiée en avril dernier, la médication du Fond est radicale pour les pays de la zone CFA. Elle ne préconise ni plus ni moins que la fin de la parité fixe avec la monnaie européenne, l’Euro.

Le document indique, sans citer les deux monnaies, qu’une mesure de ce type devrait conduire à une dévaluation, pour une monnaie, le CFA, que beaucoup d’observateurs jugent sur-appréciée. Elle indique les principes qui devraient guider les politiques économiques en ces temps de crise et recommande : "Autant que possible, assouplir la politique monétaire et laisser le taux de change s’adapter à la conjoncture externe. La chute des prix des produits de base devrait donner une impulsion déflationniste. Cela pourrait permettre à certains pays d’assouplir leur politique monétaire. La monnaie devra se déprécier en termes réels dans les pays où les termes de l’échange se sont détériorés ou les flux de capitaux se tarissent".

Si la zone CFA pense que la première citation ne la concerne que peu, elle ne peut toutefois écarter la dernière : "Les pays à taux de change souple devraient laisser leur monnaie se déprécier, tandis que, dans les pays à taux de change fixe, la politique budgétaire reste, avec des mesures visant à améliorer la compétitivité, le principal moyen d’intervention. Les pays appliquant de facto un régime de rattachement du taux de change, pourraient envisager de l’assouplir un peu".

Aversion au risque

Pourquoi des mesures aussi radicales alors que nombre de pays africains considèrent qu’ils pourraient, en fin de compte, échapper à la crise ? Le Fonds monétaire juge qu’il n’est pas possible que nos pays s’en sortent à bon compte.

Il en montre les symptômes : "La demande d’exportations africaines a diminué, les cours des produits de base ont baissé, et il se pourrait que les envois de fonds des travailleurs émigrés fléchissent. Le resserrement mondial du crédit et l’aversion des investisseurs pour le risque ont provoqué une inversion des flux d’investissements de portefeuille, découragé l’investissement direct étranger (Ide) et rendu le financement des échanges plus coûteux. Le ralentissement de l’activité économique devrait également accroître le risque de crédit et les créances improductives et, partant, affaiblir le bilan des institutions financières et des sociétés".

Le Fmi a déjà annoncé que le taux de croissance des économies dites émergentes, dont quasiment aucun des pays de la zone CFA ne fait partie, et des économies des pays pauvres, dont nous sommes, soit de moins de 2% cette année, du fait de la réduction des financements, et de la réduction des transferts d’argent.

La crise a déjà touché les pays exportateurs de matières premières minérales, ainsi que la plus grande économie d’Afrique, l’Afrique du Sud. Mais les "Perspectives régionales" du Fmi sont persuadées qu’aucun pays ne va échapper à la bourrasque.

S’adapter au nouveau contexte

C’est d’ailleurs pourquoi elles ont prévu d’autres mesures de protection également. Le document suggère que les pays qui en ont la possibilité, puissent "utiliser la marge de manœuvre budgétaire disponible".

Il explique que les pays vont perdre des recettes budgétaires, et par conséquent, leurs marges de manœuvre. Au Sénégal, cela a déjà commencé à se faire ressentir. Les finances publiques connaissent déjà une contraction des recettes fiscales et douanières, depuis quelques mois.

Dans des cas similaires, le Fmi conseille : "S’ils peuvent financer l’accroissement du déficit budgétaire, les pays qui ont réussi à stabiliser leur situation macroéconomique et qui sont libres de contraintes liées à la soutenabilité de la dette, peuvent laisser jouer les stabilisateurs automatiques. Quelques pays peuvent aussi recourir à une relance budgétaire discrétionnaire, en prenant notamment des mesures sociales pour protéger les populations pauvres".

Dans le système financier international, les conseilleurs sont souvent les payeurs. Et c’est cela qui donne de la force aux arguments du Fonds. Les dirigeants de l’institution se sont déjà préparés à mettre la main à la poche, pour soutenir plusieurs économies en difficulté. Et ne s’en cachent pas : "Les exportateurs de produits de base qui ont accumulé de l’épargne pendant la vague de prospérité pourront sans doute procéder progressivement aux ajustements nécessaires en puisant dans leurs réserves. Ceux dont les réserves sont moins importantes devront bénéficier d’un soutien accru des donateurs pour faciliter leur ajustement". Quoi qu’il en soit, "tous les pays devront finir par s’adapter au nouveau contexte extérieur".

Si l'on n'y prend garde, le CFA sera lâché par la France au moment où les colonies d'Afrique s'y attendent le moins. Il est dommage d'occulter la réflexion sur un sujet d'une telle importance.

Quand la France n'en aura plus besoin, ne risque-t-elle pas de jeter le CFA? L'Afrique, fidèle à ses habitudes, minimise le sujet et ira chercher la source d'eau lorsque l'incendie sera déclaré.

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