LA SAGA DU PANIER DE CRABE_13 : L’Affaire INTER COLOR

Le Principe de la mafia est si tu veux avoir une chose, achètes à Vil prix, si tu rencontres le refus alors intimide sinon corromps ou alors la solution extrême tues le propriétaire.

C’est cette situation que je suis entrain de vivre avec la mafia congolaise. Je tiens à porter cette affaire sur la place publique afin que tout le peuple congolais sache ce qui se trame sur ma pauvre Personne.

Je suis Monsieur MABANZA Antoine. Je suis fils de Feu SANINA Antoine et de Feue NIANGUI Augustine dont le 3e fils est DANGUI René connu sous le pseudonyme d’"INTER COLOR".

Issue d’une famille de 08 enfants dont le troisième est Le Défunt DANGUI René, Photographe, puis homme d’affaire qui a laissé un imposant immeuble sur la route de l’aéroport de Pointe Noire.

A la mort de mon frère, je fus désigné gérant de la société "Inter Color" et légitime tuteur des enfants dont le plus grand DANGUI René bijou LEPEZ n’avait que 13 ans à ce moment. A 18 ans, cet enfant a déserté le toit parental jusqu’à ce jour et avait trouvé refuge auprès de Monsieur Rufin DAMBEZET. C’est donc ce monsieur qui s’est mis à comploter afin que le bien successoral de la famille dénommé "Inter Color" soit vendu.

Monsieur Rufin DAMBEZET s’est présenté comme père de l’enfant et Alain MANAKA comme oncle maternel. Malgré plusieurs ordres d’expulsion et d’intimidation par les huissiers de Justice de Pointe-Noire j’ai fait opposition pour la vente de ce patrimoine.

Pour mener à bien leur mission, le 13 octobre 2010, j’ai été victime d’une tentative d’enlèvement dans l’enceinte de la société  "Inter Color" par une bande armée qui avait acceptée de prêter main forte à cet enfant.

Cette tentative d’enlèvement avait abouti à une intervention de la brigade de gendarmerie des transports aériens de Pointe Noire qui malheureusement au lieu de prendre l’enfant et la bande armée pour trouble public s’en était pris à moi.

J’avais été détenu dans leurs locaux pendant 48 Heures et sans qu’il m’évoque le moindre motif de cette garde à vue. Il avait fallu l’intervention de Monsieur l’avocat général de la cour d’appel de Pointe Noire. Pendant que j’étais retenu contre ma volonté dans les locaux de la gendarmerie le fils de Rufin DAMBEZET a saccagé mon bureau.

Pour votre information la BJ de la gendarmerie de la Brigade des transports aériens devait rôder dans les parages d’Inter color

Entre temps j’étais convoqué à plusieurs reprises par le Procureur Général de la cour d’appel de Pointe Noire qui ne cessait pas de me menacer de m’envoyer à la maison d’arrêt. Devant les menaces tant de la part des autorités judiciaires que policières je me suis retirer de la direction d’"Inter Color".

C’est ainsi que Monsieur DAMBEZET Rufin le père de DANGUI Bijou et MANAKA Alain l’oncle de cet enfant ont vendu ce patrimoine sans que les parents de feu DANGUI René n’ai pu bénéficier d’un centime pendant que l’affaire est pendante et mise en délibéré auprès du tribunal de grande instance de Pointe noire.

Malheureusement j’ai été surpris que ce même enfant me convoque une fois de plus à la même à la même brigade de la gendarmerie. J’ai refusé d’y aller connaissant leur façon de travailler ceci malgré la deuxième convocation.

Excédée par les traumatismes que les gendarmes avaient créée dans son foyer et connaissant la partialité de cette brigade mon épouse avait pris l’initiative d’aller se présenté au Commandant de la brigade cette gendarmerie ; elle était restée détenue de 15 heures à 18 heures et avait subi des menaces.

Il avait fallu l’intervention d’un commandant de l’armée pour quelle soit libérée en lui remettant une 3^e et dernière convocation faute de se présenter, une prise à domicile serait effectuée à mon encontre. Face à cette situation j’avais formulé une plainte contre cet enfant pour menaces d’assassinat au procureur de la République que toute la famille et moi avions rencontré et expliqué toute la situation. Le procureur avait appelé ce commandant de Compagnie MOSSEMBA Rodolphe et lui avait demandé d’arrêter de me convoquer.

Malheureusement deux jours après le samedi 14 mai ce commandant m’envoya la BJ avec six éléments armés pour me prendre à Domicile.  Heureusement pour moi je n’étais pas à la maison, ils avaient menacé mes enfants et voulaient fouiller ma maison alors qu’ils n’avaient ni mandat, ni ordre de perquisition, et m’avaient laissé une autre convocation qu’ils ont intitulé dès réception

Je sais que SASSOU NGUESSO qui est le premier Magistrat qui me lira demandera au nouvel acquéreur de la propriété d’INTER COLOR, à Monsieur DAMBEZET, au Commandant MOSSEBA Rodolphe, et autres de me laisser tranquille sinon je viendrai m’immoler devant la propriété d’INTER COLOR que j’ai eu le privilège de gérer pendant plusieurs années.

Les personnes qui ont signé l’acte de vente de cette propriété ont – elles été désignées par les parents du Défunt DANGUI. C’est vrai que l’enfant avait participé à la vente. Je prends à témoin le peuple Congolais un enfant de 23 ans peut il décidé donner le prix de ce patrimoine.

VOUS AVIEZ EU CE QUE VOUS VOULEZ JE VOUS PRIE DE ME LAISSER TRANQUILLE.

Comments

[anonyme]

Dommage qu'il n'existe pas un prix de la connerie